LA RADIO ET L’AUDIO en France et en Allemagne – Les chiffres clés – et des concepts de réussite

Les chiffres clés économiques des fournisseurs, les formats de discussion, l’importance de „l’AUDIO“ et des podcasts. Avant et après Corona.

DES RECOMMANDATIONS POUR LES FOURNISSEURS DE RADIO ET  POUR LES INSTITUTIONS MÉDIATIQUES DE L’ÉTAT

                       L’avenir du marketing, c’est la curiosité

                                    EXTRAIT de l’étude

Les passages marqués “ … “ représentent des parties essentielles et payantes. Vous souhaitez recevoir des informations plus détaillées ? Vous trouverez les informations correspondantes à la fin de cet extrait.

I BREF RÉSUMÉ

„Plus de concurrence mène à plus de créativité et de diversité“, voilà en gros comment on peut résumer les résultats de cette étude, qui est très  probablement unique en ce qui concerne les thèmes choisis, à savoir l’audience, la législation et l’état et  les succès économiques de la radio dans les deux pays.

Cette étude comparative des deux systèmes de radio en France et en Allemagne, préparée à l’origine pour le congrès de l’industrie „European Radio Show 2020“, avec les domaines de référence que sont la couverture, l’audience, l’offre des programmes, la législation, le secteur de la publicité et les méthodes de mesure, a été mise à jour en raison de la crise sanitaire dans ces domaines et est complétée en permanence par les nouveaux développements du marché.

La France est l’un des plus importants partenaires commerciaux de l’Allemagne. Dans le cadre de la coopération avec les États membres de l’UE, le partenariat franco-allemand occupe une place de choix en raison de son histoire, de son intensité et de sa structure institutionnelle particulière. Outre ces rôles plutôt politiques, une analyse comparative des deux systèmes de radio, pour rester dans le domaine de l’économie, même une analyse d’un sujet aussi banal que la publicité fournit de précieuses indications aux opérateurs des radios. De nombreuses campagnes sont conçues pour l’ensembles des pays et marchés à travers  toute l’Europe. Comment un fournisseur français comme Peugeot, par exemple, procède-t-il, comme son concurrent Volkswagen dans les pays respectifs ? Cette étude montre les stratégies correspondantes pour la conception et le placement par un  archive de spots. Les marchés locaux sont également analysés et comparés en termes de revenus publicitaires et de stratégies des entreprises locales. Ces analyses contiennent de nombreux conseils et recommandations pour les responsables radio des deux pays. Les analyses approfondies des programmes proposées dans cette étude révèlent également le potentiel insoupçonné de certains formats radio qui sont peu ou pas du tout utilisés en Allemagne. La radio – ou, comme on l’appelle maintenant „audio“ en raison de son „framing linguistique“ actuel – est soumise à un contrôle public en tant que puissant média de masse. Cet article montre quelles sont les approches adoptées par les autorités de contrôle des deux pays et quels sont leurs effets possibles sur la législation européenne. Comme les instruments de mesure jouent également un rôle important dans ce domaine, des méthodes, des fournisseurs et des résultats concrets seront présentés.  Il sera montré dans quelle mesure les phénomènes de forte concentration dans l’industrie des médias affectent les agences de publicité et  média planning/achat, les instituts d’études de marché et les médias eux-mêmes.

…….

II AVANT-PROPOS

La mise en route de cette étude comparative a été déclenchée par une question posée dans le programme du congrès du „European Radio Show 2020“, à savoir celle des composantes du succès des radios allemandes  et françaises. Elle a éte constamment mise à jour dans les domaines suivantes : les réactions de l’État et des autorités de régulation pour soutenir la radio privée, des mesures marketing et stratégiques prises par les radiodiffuseurs dans les  deux pays, l’effe de la crise sanitaire portée sur les recettes publicitaires. Un accent particulier est mis sur le développement de nouvelles offres spécifiques à chaque situation par les stations de radio. Là aussi, une certaine originalité et une force d’innovation de certains médias francais, entre autres ceux du secteur des radios locales, étaient flagrantes par rapport aux solutions employées en Allemagne.

CONTENU
Page des sujets de chapitre

I Résumé 1

II Préface 3

III Contenu 7

IV a Législation, types de prestataires dans les deux pays 8

IV b Qui possède quoi ? Intérêts de propriété 13

V Nombre de prestataires dans une comparaison 17

VI Éventail des prestataires dans une comparaison 19

VII Comparaison des recettes et des redevances des prestataires. Le marché de la publicité dans les deux pays et sa part dans le financement des offres. Relevés détaillés des recettes des radios locales allemandes 21

VII Observations actuelles du marché actuel et perspectives pour 2020/2021 30

VII Exemples de spots radio, archives avec liens audio 33

VIII Radio au format TALK, dont l’importance en France 34

VII Rôle des institutions réglementaires de l’État dans la formation de l’opinion (politique). Procédures, résultats.        38

VIII Services de radio nationale avec TALK, tableaux de programmes. Evaluation.           43

VIII Analyse des programmes de trois prestataires allemands, évaluation en fonction du nombre de mots, de nouvelles et de parts de publicité. Spots d’archives audio et coupures de programmes. Dans une comparaison annotée

VIII Analyse des programmes de trois prestataires allemands, évaluation en fonction du nombre de mots, de nouvelles et de parts de publicité.

Spots d’archives audio et coupures de programmes. Dans une comparaison commentée avec des radios allemandes exemplaires (analyse des programmes, du contenu – infos, parité talk musique, politique, ‘boulevard’, …, publicité, ventes spots en valeur et en quantité, projection revenus annuels, comparaison ave d#autres stations). L’un des éléments essentiels de la présente étude. Les instruments de mesure utilisés.  47

IX Typologie de quatre fournisseurs français de TALK et présentation de TALK à l’aide de l’exemple de Radio RMC 54

IX Pondération éléments du programme : mots, publicité, interviews, call ins, jingles.

Méthodes d’activation des auditeurs.

Comparaison avec trois autres prestataires en France. Horloge du programme. Enregistrements audio/accès aux archives.                56

X Législation en France sur l’équilibre temporel des expressions politiques avec mise en comparaison des procédés employés par les institions homologues en Allemagne (Medienanstalten) 62

XI Instruments de mesure utilisés, leurs méthodes, leurs coûts, les scénarios 64

XII Nouvelles formes de distribution, nouveaux services audio, radios web, podcasts, voix/ voice assistance

Informations détaillés sur nouveau sondage « Online Audio Monitor » 66

XIII Recrutement de personnel, volonté de transformation des radios 80

XIV Notes/ index des mots-clés 85

DROITS D’UTILISATION et informations sur l’auteur
Helmut Poppe 86

 

DROITS D’UTILISATION

Cette étude présente „RADIO ET AUDIO en France et en Allemagne“ a été faite  par Helmut Poppe. Une copie totale ou partielle, numérique ou sur papier, ne peut être faite que sur accord préalable.

Informations sur l’auteur Helmut Poppe

Pionnier de la radio privée avec les stations : Radio Petticoat-Berlin (première station allemande de musique nostalgie), directeur général de Radio Tele Media-Service, directeur du marketing chez Studio Gong, directeur des ventes de IPA/RTL et IP Multimedia, directeur du marketing de germany.net avec radio germany.net. Responsable d’un centre de médias pendant de nombreuses années. Il travaille dans et pour la transformation numérique pour diverses entreprises en Allemagne et à l’étranger dans les secteurs : médias, sport, éducation, ressources humaines et communication politique.

www.dasmedienzentrum.org #dasMedienZentrum

RADIO UND AUDIO in Frankreich und Deutschland – Kennzahlen und Erfolgskonzepte

Wirtschaftliche Kennzahlen der Anbieter, Talkformate, Stellenwert von ‚AUDIO‘ und Podcasts. Vor und nach Corona.

EMPFEHLUNGEN FÜR FÜR RADIOANBIETER UND LANDESMEDIENANSTALTEN ZUGLEICH

The Future of Marketing Is Curiosity

AUSZUG der Studie
(deutsche Version)
Version francaise prix et commande ici
Extrait en langue francaise ici (PDF), Download

Mit “ ….“ gekennzeichnete Passagen stellen Kürzungen dar. Sie möchten tiefere Informationen erhalten? Am Ende dieser Seite finden Sie entsprechende Angaben.

I KURZFASSUNG

„Mehr Wettbewerb führt zu mehr Kreativität und Vielfalt“, so lassen sich die Ergebnisse dieser Studie zusammenfassen, die in der gewählten Themensetzung Hörerschaft, Gesetzgebung und wirtschaftlicher Erfolg der Radios in den beiden Ländern wohl einzigartig ist.

Ursprünglich erstellt für den Branchenkongress „European Radio Show 2020“ vergleicht sie die beiden Radiosysteme in Frankreich und Deutschland mit den Bezugsfeldern Reichweiten, Programmangebote, Gesetzgebungen, Werbewirtschaft und Messverfahren. Sie wurde angesichts der Corona-Krise in diesen Bereichen aktualisiert und wird fortlaufend mit neuen Marktentwicklungen ergänzt. Die in dieser Studie eingesetzten Verfahren lauten:  62  face to face von dem Autor durchgeführte  Interviews mit Experten aus den Bereichen Vermarktung, Programmgestaltung, Medienforschung, technische Lösungen, Personalwirtschaft und mit Verantwortlichen einzelner Bereiche in den Sendern selbst. Zählservices von zwei deutschen großen Vermarktern und zwei französischen Marktforschungs-unternehmen, Desk Research mit  Quellenanalyse einschlägiger Publikationen aus der Medienwirtschaft. Strukturierte Programmauswertungen  mit 257 Audio-Mitschnitten und deren inhaltliche analoge Analyse auf Aspekte wie Anteile Wort/Musik, politische Berichterstattung, Meinungsbildung, Werbespots, Auslastung Werbeinventar. Die Fragestellungen und deren Ausweisungen erfolgen rollierend in einer  2-Monats-Folge.

Frankreich ist einer der wichtigsten Handelspartner Deutschlands. Innerhalb der Zusammenarbeit mit den  EU-Mitgliedsstaaten nimmt die deutsch-französische Partnerschaft durch ihre Geschichte, ihre Intensität und ihre besondere institutionelle Ausgestaltung eine herausgehobene Stellung ein. Neben diesen eher politischen Rollen bringt eine Betrachtung beider Radiosysteme, um bei dem Thema Wirtschaft zu bleiben, bereits eine Analyse eines solch eher profanen Themas wie Werbung wertvolle Erkenntnisse für Radiobetreiber. Zahlreiche Kampagnen werden europaweit konzipiert. Wie geht hier zum Beispiel ein französischer Anbieter wie Peugeot vor, wie sein Mitbewerber Volkswagen in den jeweiligen Ländern? Vorliegende Studie zeigt entsprechende Strategien der Gestaltung wie auch der Platzierung auf in einem umfangreichen Spotarchiv. Auch werden lokale Märkte analysiert und verglichen bei den Werbeeinnahmen und den Strategien lokaler Unternehmen. Solche Analysen bergen zahlreiche Tipps und Empfehlungen für Radiomanager in beiden Ländern. Auch durch tiefe Programmanalysen, die in dieser Studie geboten werden, zeigt sich, welche ungeahnte Potentiale gewisse Radioformate bergen, die beispielsweise in Deutschland keinen Einsatz finden. Radio- oder wie es sich durch nicht ungeschicktes ‚Framing‘ neuerdings ‚Audio‘ nennt, unterliegt als mächtiges Massenmedien öffentlicher Kontrolle. Welche Vorgehensweisen staatliche Aufsichtsbehörden in beiden Ländern nehmen und welche möglichen Auswirkungen diese auf europäische Gesetzgebungen haben, wird aufgezeigt. Da hier auch Messinstrumente eine bedeutende Rolle spielen, werden Methoden, Anbieter und konkrete Ergebnisse demonstriert.  Es zeigt sich, welche Ausmaße starke Konzentrierungsphänomene in der Medienwirtschaft auf  Werbe- und Media-Agenturen, Marktforschungs-institute und in den Medien selbst nehmen.

…….

II VORWORT
Die Erstellung dieser vergleichenden Studie hatte ihren Auslöser mit einer Fragestellung im Kongressprogramm der „European Radio Show 2020“ nämlich der nach den Erfolgskomponenten deutscher und französischer Radios. Sie fand eine erhebliche Aktualisierung in den Bereichen Reaktionen des Staates und der regulierenden Behörden zur Stützung des Privatfunks, bei den Maßnahmen der Sender in beiden Ländern, den Reichweiten und den Werbeumsatzentwicklungen. Ein besonderer Fokus wird auf die Entwicklung situationsbedingter neuer Angebote der Radiosender gelegt. Auch hier zeigte sich ein gewisse Originalität und Innovationskraft einiger Anbieter gerade solcher im Lokalfunkbereich. Aufgezeigt wird dies in einem Audio-Archiv, das über ……..

Kapitel Thema Seite
I Kurzfassung   1
II     Vorwort   3
III        Inhalt   7
IV a  Gesetzgebung, Anbietertypen in beiden Ländern 8
IV b  Wem gehört was? Besitzbeteiligungen 13
V Anzahl Anbieter in einer Gegenüberstellung 17
VI Reichweiten der Anbieter in einer Gegenüberstellung 19
VII Umsätze und Gebühreneinnahmen der Anbieter in einer Gegenüberstellung. Der Werbemarkt in beiden Ländern und sein Anteil zur Finanzierung der Angebote. Detaillierte Umsatz-Aufstellungen deutscher Lokalfunkkombis 21
VII Aktuelle primäre Marktbeobachtungen und Ausblick auf 2020/2021 30
VII Beispielhafte Hörfunk-Spots, Archiv mit Audio-Links 33
VIII Formatradio TALK, dessen Bedeutung in Frankreich    34
VII Rolle der staatlichen regulierende Institutionen bei der (politischen) Meinungsbildung. Verfahren, Ergebnisse. 38
VIII Nationale Hörfunkangebote mit TALK, Programmtafeln. Bewertung. 43
VIII Programmanalyse von drei deutschen Anbietern, Auswertung nach Wort-, Nachrichten-, Werbunganteil. Audio-Archiv Spots und Programmittschnitte. In einer kommentierten Gegenüberstellung mit ausgewählten deutschen Anbietern (Programmanalyse, Anteile und Inhalte Nachrichten, Werbung, Umsätze, Jahresumsätze). Eines der Kernstücke vorliegender Studie. Eingesetzte Messinstrumente. 47
IX  Typolisierung vier französischer TALK-Anbieter und Darstellung TALK am Beispiel Radio RMC                      54
IX  Gewichtung Programmelemente Wort, Werbung, Interviews, Call ins, Jingles. Methoden zur Aktivierung von Hörern.
Vergleich mit drei weiteren Anbietern in Frankreich. Programmuhr. Audio-Mitschnitte/Archivzugänge.
56
X Gesetzgebung in Frankreich zur zeitlichen Ausgewogenheit politischer Äußerungen 62
XI Eingesetzte Messinstrumente, deren Methoden, Kosten, Szenarien 64
XII Neue Distributionsformen, neue Audio-Angebote, Webradios, Podcasts, Voice Assistants mit Darstellung des Online Audio Monitors, Ergebnisse und Befragungsinhalte 66
XIII Personalrekrutierung, Transformationswillen 80  
XIV Anmerkungen/Stichwort-Abbildungsverzeichnis  85
  NUTZUNGSRECHTE und Angaben zum Autor Helmut Poppe 86

Ein Chart aus einer Präsentation des Autors gehalten auf der European Radio Show im Januar 2020 in Paris.
Fazit: Frankreichs Radios vermarkten sich erfolgreicher. Grund? Mehr Wettbewerb, mehr Kreativität.

Eine Programmbeobachtung (hier anonymisiert und Auszug)

Anteile in      %

Werbung:   12%

Musik:        62%

Wort:         24%

Andere:       2%

Rundungsdifferenzen in Summe 1.698 Sek. Kurzbewertung des beobachteten Programmabschnitts:

Spezielle Werbespots während Corona – in Deutschland wenig aufzufinden. In Frankreich massig.
„…..

Die eingangs erwähnte gattungsspezifischen Aktivitäten Richtung Umsetzung in Corona-spezifischen Marketingaktionen im Radio in Frankreich wird mit einer Liste von 250 Radiospots ersichtlich. Hier wurden auf die lokale und auf das krisenbedingte Umfeld passgenaue Hörfunkspots und auch Podcasts erstellt und eingesetzt.

Es seien hier erwähnt:

  • Best of Radiopub Corona: Die Supermarktkette Intermarché gibt spezielle Öffnungszeiten bekannt für Personal in ausgesuchten Berufen wie Pflegekräfte, Feuerwehr etc. (Dauer 0:20)
  • MESSAGE GOUV CORONAVIRUS Ein Hinweis der staatlichen
    Gesundheitsbehörde (Dauer 0:35)
  • Hinweis kommunale Müllentsorgung (0:45)

         Eine Akademie lädt zu Onlinekursen ein, auch Spanisch „Corona, olé!“

  • Plombier.com 15s mars20 JEUDEPISTE
    Eine Klempnerinnung kündigt an, in Corona-Zeiten keine Extragebühr zu erheben.
  • MERICQ Commandes 24032020 JFY Liefert Fisch und Meeresfrüchte wie „Uber“, (Dauer 0:30)
  • PASSAGEDUDESIR.FR, Sextoy-Anbieter nutzt die Coronakrise (Dauer 0:30)

VIII Formatradio TALK, dessen Bedeutung in Frankreich

In jüngster Zeit scheint es zu einer Wiederentdeckung des Formats TALK auch in Deutschland zu kommen. Antenne Bayern und Radio RTL setzen – wenn auch nur für kurze Programmeinschübe – auf dieses Format. Der ostdeutsche Sender MDR wird ebenfalls in dem Segment aktiv mit einem Diskussionsportal. Der Hessische Rundfunk veranstaltet jeden Mittwoch ein alle Sender übergreifendes Format namens #WirhörenDich. Öffentlich-Rechtliche besetzen nun auch publikumswirksam das Feld Diskussionen und Debatten. Engagiert, unterhaltsam und ohne Zeigefinger. (Bild Hessischer Rundfunk)


Zum Thema TALK
(ein Auszug der Einleitung)

„….. Emotionen, Debatten, Streit und Streicheleinheiten für den Hörer.

Die großen landesweiten privatwirtschaftlichen Hörfunkangebote, die in die von den Aufsichtsbehörden erstellte fünfte Kategorie E fallen, heißen Europe 1, RTL, RMC und Sud Radio und nannten sich bis 1982 „Peripherieradios“, da sie außerhalb des französischen Staatsterritoriums auf Langwelle ausstrahlten. Sie finden Verbreitung jetzt über UKW, das Internet und in einem Frühstadium via DABplus und haben ihren Geschäftssitz in Paris. Sie betreiben ein stark auf Wort orientiertes Programm. Eine staatlich-öffentliche Angebotsergänzung im Bereich Wort erhält der Hörer mit den landesweit ausgestrahlten Programmen France Inter und dem Nachrichtensender France Info.

Da stark auf Wortprogramme ausgerichtete Sender, auch bezeichnet als „TALK-Radios“ in der Herstellung als relativ aufwendig und teuer betrachtet werden und zudem die Programmkosten der landesweiten französischen Anbieter, die auch über TV-  und zahlreiche Bewegtbildkanäle Inhalte verbreiten hoch sind, lässt sich auf einen ersten Blick folgern, dass die maßgeblichen Radiostationen im Vergleich zu deutschen Anbietern wesentlich ungünstigere Renditen erzielen. (Noch) scheint die Rechnung für deutsches Radio aufzugehen: viel Musik, überschaubare teure Wortredaktion ergeben relativ hohe Gewinne. ….“

Politische Ausgewogenheit in Medien

Im Nachbarland werden regelmäßige Messungen durchgeführt, um die Anzahl und den Umfang der Auftritte von Politikern zu messen. Ausführendes Organ ist hierbei die Behörde CSA. Die erfassten Daten werden in aggregierter Form nach politischen Parteien in einem offenen und wiederverwendbaren Format und seit September 2016 in Form von Listen veröffentlicht, in denen die Reden von politischen Persönlichkeiten für kumulierte Zeiten von mehr als einer Minute aufgeführt sind.

Quelle: CSA „Pluralisme“

Ob allerdings automatisierte Verfahren in der Lage sind, auf kleineren Stationen und in Randzeiten zum Beispiel ‚getriggerte‘ radikale Meinungsäußerungen von Einzelpersonen in Call-ins zu messen, darf in Frage gestellt werden. Hierzu auch die Anmerkungen in der Programmanalyse RMC und der eines deutschen Anbieters beachten (im ersten Fall eher subliminale Werbung und Namensanspielungen, im zweiten unkommentierter Drogenmissbrauch eines Musikers im jungen Alter).

XI   Eingesetzte innovative Messinstrumente, deren Methoden, Kosten, Szenarien

Zum Thema Tracking und Reichweitenmessung

Wie vorab geschildert, wird in den USA ein sogenanntes People Meter“ zur Messung der Hörfunknutzung von dem Marktforschungsunternehmen Nielsen eingesetzt. Europäische Anbieter für solche Verfahren gab es bereits vor mehr als 20 Jahren mit einem schweizerischen Unternehmen. In Frankreich und in Belgien nennen sich Unternehmen, die ähnliche Verfahren anbieten Vocast, neuromedia, audiospy/soundID. Ihnen allen ist gemeinsam, dass mit einem Pager oder sogar mit einem Handy Radiosignale ausgewertet werden, die ein verborgenes Tonsignal tragen. Somit können Programmelemente und deren vermutete Nutzung durch in einem Panel gewonnenen Probanden erfasst und ausgewiesen werden.

Ganz besonderen Stellenwert findet die Technologie eines weiteren französischen Anbieters, der zu dem internationalen Medien- und Werbekonzern ….

Eine Darstellung herkömmlicher Befragungsmethoden und Inhalte aus dem Online Audio Monitor sind ab Seite 64 zu finden . …..“

Der französische Staat übernimmt Kosten für die Fortbildung von Radiopersonal.
Wie und durch welche Akademien ab Seite 80.


….

NUTZUNGSRECHTE

Diese vorliegende Studie „RADIO UND AUDIO in Frankreich und Deutschland“
wurde erstellt von Hemut Poppe (Angaben zum Autor weiter unten). Sie wird fortlaufend mit Entwicklungen im Radio-/Audiomarkt beider Länder aktualisiert und bietet somit ländervergleichend tiefgehendes Expertenwissen zu Werbemarktentwicklungen, Vermarktungs-und Programmstrategien sowie zu den Themen HR, Methoden und Ergebnisse Media-Measurement. Eine Kopie in gänzlicher Form oder auszugsweise, digital oder in Papierform darf nur nach vorheriger Vereinbarung erfolgen.

Die Studie ist käuflich zu erwerben im Rahmen einer Einzel- oder Unternehmenslizenz. Kosten für die Gesamtausgabe oder einzelner Kapitel auf Anfrage hier.

Angaben zum Autor Helmut Poppe

Radiopionier mit den Stationen: Radio Petticoat-Berlin (erster deutscher Oldiesender), Geschäftsführer der Radio Tele Media-Service, Marketingleiter Vertrieb Studio Gong, Verkaufsdirektor der IPA und IP Multimedia, Marketingleitung germany.net mit radio germany.net. Langjähriger Leiter eines Medienzentrums. Er arbeitet in und an digitaler Transformation für verschiedene Unternehmen in Deutschland und im Ausland in den Branchen Medien, Sport, Bildung und politische Kommunikation.

www.dasmedienzentrum.org     #DasMedienZentrum


Fortbildung in Radios hemdsärmlig behandelt?

Sind #Video-chats für Trainings von Medienschaffenden, die wahre Lösung? Wer bildet aus, taugen Kurse was? Inhalte, Benefits nur für #Vertrieb oder #Programmgestaltung oder auch für andere Unternehmensbereiche? Erfolgt Unterstützungen der eigenen #Employability oder muss Arbeitnehmer alles aus der eigenen Tasche zahlen? Sehen PE-Verantwortliche bei den Radio-/Medienanbietern das Thema ein wenig zu hemdsärmlig? Wo bestehen neue Erlösfelder für Trainer, Beratungsagenturen und Coaches?

Weitere Fragen und Antworten in radioszene:
https://t.co/INsvRX4GDp

Bildungsexperten: „Setzt endlich digitales Lernen gleichberechtigt neben traditionelle Lernformen!“

Bei der jetzigen Diskussion um Distanzlernen bei Corona wird leider  häufig Sach- und Fachverstand für Lernen allgemein und seine innovativen Formen wie das E-Learning vermisst.  Programmatic Learning oder wie es in den 80er Jahren hieß „programmiertes Lernen“ stößt nicht nur auf Unverständnis sondern auf  Ignoranz.  Hier im Folgenden Überlegungen und Darstellungen zu der Fragestellung Was hat die digitale Werbeindustrie gemeinsam mit innovativem Lernen?
Ein Erläuterungsversuch zu dem uralten Thema, das die Menschen seit Tausenden von Jahren beschäftigt, nämlich wie gutes Unterrichten und Lernen gelingen kann aktuell aus der Sicht eines Kommunikations- und Mediaexperten. Gänzlich andere  Methoden und Ansätze eröffnen ungeahnte Perspektiven.  Die Forderung lautet:
@Lehrer: Lernt aus der digitalen Werbung!

Blumig-romantische Aussagen wie „ Nur bei einem Stirnrunzeln oder einem Lächeln merkt der Unterrichtende, dass er bei seinen Schülern ankommt“, Zitat in der französischen Tageszeiting Libération einer an einer Hochschule lehrenden Wirtschaftswissenschaftlerin, zeigen nicht nur einen Blick nach hinten sondern – Verzeihug für das harte Urteil – Ignoranz. Die Professeure sollte es besser wissen, gerade an Universitäten und Hochschulen hat diese Art des Unterrichtens und Lernens längst Einzug gehalten. Auch eine Empfehlung  „Lesen, Lesen, Lesen“ wie in der FAZ jüngst zeigt neben einer unreflektierten Wiedergabe des Standpunktes eines Verlages, dass ein weit verbreitetes Unverständnis für digitale Lehr- und Lernverfahren vorherrscht bei sich ein Urteil zutrauenden Experten. Ein Bildungshistoriker redet dort sogar von einer „Kustodalfunktion“ des Lehrenden. Recht hat er zugegebenermaßen schon, einen schützenden Lernführer braucht es schon, fragt sich nur, ob es immer physisch sein muss. E-Learningplattformen reden in dem Zusammenhang eher von einer programmierten „interaktiven Responseschiene“ . Pädagogen fallen bei solchen und hier später dargestellten digital gestützten Lernvermittlungs- und Distributionsformen eher in Schnappatmung.

„Das deutsche Bildungssystem hat immer noch nicht erkannt, welche Wirkungsdimensionen digital gestütztes Lernen in Schulen bietet.
Schüler erhalten stattdessen Papier und Arbeitsaufträge.

Nutzt das epochale Ereignis für einen Methodenwechsel.“
Helmut Poppe, E-Learning-Experte, Studienautor.


Hier werden Tablets ‚betankt‘

Dieser Beitrag soll aufzeigen, was in den vergangenen Jahren in Sachen digital gestütztes Lernen in Deutschland versäumt wurde, welche Chancen es bietet und welche Forderungen zu stellen sind, damit diese zukunftsweisende Art des Unterrichtens und Lernens endlich in unseren Landen als ernstzunehmende Lösung auch außerhalb  Corona anerkannt und angewendet wird. Einige Länder machen dies bereits erfolgreich vor und zeigen, wie erfolgreicher Unterricht mit solchen Verfahren verwirklicht werden kann. Mit einigen Kennzahlen wird hier dargelegt, welche Kosten in der Technikbereitstellung entstehen und warum es den Akteuren in der  schulischen Bildung bisher nicht gelungen ist, überzeugende Lösungen zu realisieren. Handlungsanleitungen werden gegeben. Es geht nicht nur um die Bildung und um die Zukunftsaussichten von 11 Millionen Schülern sondern auch um eine Kompetenzvermittlung für das spätere Berufsleben, das, wie wir alle wissen, bestimmt sein wird durch konstanten Weiterbildungsbedarf. Dieser erfolgt sehr häufig lernerzentriert.

Hieß es in den 80er und frühen 90er Jahren „Programmiertes Lernen“, nennen sich digital unterstützte Lern- und Lehrangebote mittlerweile „eLearning“  oder „Distance Learning“.

 Im selben Atemzug werden dann auch Begriffe verwendet wie „Kollaboration“,  „Cloud“,  „Lernplattformen“ oder „Digitalpakt“. „Homeschooling“, wird mit ziemlicher Wahrscheinlichkeit zum Unwort des Jahres 2020 im Dezember gekürt. Schätzen Sie einmal, wie viele Druckerpatronen in den letzten 10 Tagen im März 2020 in Deutschland erworben wurden. Vermutlich dürften es zur Freude eines großen Onlineversandhauses einige Millionen sein. Die von Lehrern per E-Mail zugesandten Arbeitsaufträge wollen ausgedruckt sein!

Insgesamt haben diese sprachlichen Annäherungsversuche eines gemeinsam: sie entstehen aus der Sicht von Spezialisten und Akteuren, die solch ein weites und hochkomplexes Feld wie Unterrichten und Lernen aus ihrer eigenen Position und Branche wahrnehmen. Sind sie technikorientiert, denken sie an Server und Office. Gamer gehen Richtung Virtual Reality/VR und Augmented Reality-Szenarien (sehr erfolgsversprechend für Mathematik und Naturwissenschaften zum Beispiel). Didaktiker sprechen von Methodenwechsel. Schulbauverantwortliche von Access Poings und Übergabepunkten. Konservativ eingestellte Fachdidaktiker beurteilen solche Verfahren mit „Nichts ersetzt den Präsenzkurs“  und werfen „übertriebene Technikeuphorie“ vor. 

Jetzt, nach mittlerweile zwanzig Jahren des Entwickelns und Anwendens ist das Angebot von digital gestützten Lernangeboten vielfältig und teilweise ausgereift.

Sprachenunterricht mit authentischen Hörtexten, interaktiven Übungen und Lernkontrollen

Aber immer noch nicht ist valide ermittelt worden, welche Vor- und eventuelle Nachteile diese neuen Anwendungen bergen. Die Vorteile sind frappierend offensichtlich für alle Phasen des Lernens. Im Moment der Kognitivierung sorgen sie für ein ‚multisensorisches‘ Verständnis von Sachverhalten. Übungen verlaufen abwechslungsreich, in unterschiedlichen Wahrnehmungsformen durch Klicken und Auslösen, auditiv, visuell ansprechend und motivierend. Der Transfer des erworbenen Wissens geschieht  mit direkter Rückmeldung zum Lerner und Unterrichtenden in verschiedensten Ausprägungs- und Erfolgserfassungsstufen über die Anwendung selbst. Sie erkennt, ob Lösungen und Zwischenschritte verstanden, bearbeitet und korrekt erfolgten. Ein ungemeiner Vorteil hierbei ist, dass Lernschritte des Schülers individuell erfasst und optimiert werden können. Nicht nur der Gesundheitssektor erfährt derzeit durch das Auswerten von gewonnen Nutzungsdaten einen enormen Push, dies ist auch möglich im Lernen durch Rückkopplung. Die einzelnen Phasen werden on- oder offline organisiert und machen nicht nur den Schulranzen weniger schwer  sondern erleichtern auch die Home Office-Aktivitäten vieler Eltern, die zu festgelegten Videokonferenzen ihrer Kinder mit Lehrern im Home Office ungestört arbeiten können. Solch ein Verfahren entlastet somit die Eltern massiv, die vielleicht gar nicht in der Lage sind, die Aufgaben mit ihren Kindern zu erledigen. E-Learning kann also viel mehr als Papierlernen. Es ist höchste  Zeit, beide Verfahren gleich zu stellen und prinzipiell im laufenden Unterricht einzuplanen. Nicht zu allerletzt gilt auch der Spruch „Immersion statt Emission“: wenn an festgelegten Zeitpunkten unter Einhaltung der gesamten tolerierbaren Bildschirmzeit Kinder und Jugendliche zu Hause beschult werden, entfallen Mobilitätsaktivitäten und somit CO2-Emissionen. Wohl bemerkt unter Einhaltung von Bildschirmzeiten. Diese sollten 1 bis 2 Stunden bei bis 12-Jährigen, bis maximal 4 Stunden für 16-Jährige und älter nicht überschreiten. Wohl bemerkt, gemeint ist die komplette Bildschirmzeit über den ganzen Tag. Die Zeitsegmente mit der Schüler sich mit dem Tablet oder PC lernen, dauern im Idealfall zwischen fünf und 15 Minuten.

Schwere Ranzen, leichte Tablets

Der Autor dieser Zeilen hat mit dem Hintergrund Kommunikations- und insbesondere Werbewirkungsforschung zu einem relativ frühen Zeitpunkt nämlich schon 2005 eine Primärstudie vorgelegt, die verschiedene Werkzeuge aus diesen eigentlich weit entfernten Branchen nutzte um Lernen zu analysieren, zu messen und um Handlungsanleitungen für die Gestaltung innovativer Lernszenarien  zu geben. Einzelne Elemente waren hierbei: Big Data-Auswertungen (mit Einverständnis von Arbeitnehmerverbänden. Auch Lernprogramme für die Erwachsenenbildung wurden analysiert.) In Fokusgruppengesprächen wurden Handlungen und Strategien von Lernenden eruiert. Designaspekte wurden von  Usability-Experten untersucht.  Blickverfolgungskameras zeigten zum Beispiel, dass die Probanden eher auf einen lustigen Hund schauten als auf eine Darstellung eines grammatikalischen Sachverhaltes in einem Sprachenlernangebot.

Testperson, Blickverfolgungskameras eigentlich genutzt zur Werbewirkungskontrolle. Hier für ein Sprachlernprogramm, powered by eresult

Auch wurde – als ein Beispiel vieler Teilaspekte – ermittelt, dass Erwachsene  gerne am Wochenende in ihr Lernprogramm einsteigen und ein bis zweimal die Woche von Ihrem Arbeitsplatz darauf, dann aber kürzer zugreifen. Die Primärstudie „E-Learning in Deutschland 2005“ (diese ergänzt durch eine weitere Studie mit dem Titel „E-Learning in Deutschland“ unter Mitwirkung von Prof. Dr. Peter Henning u.a.) wurde verlegt durch den Münchener Hightext-Verlag. Die Protagonisten, die sich  im eLearning-Lab des Bundesverbandes Digitale Wirtschaft BVDW e.V. zusammenfanden, plädierten damals schon engagiert für diese neue Form des Lernens und Unterrichtens.  „Jetzt nach 20 Jahren eLearning und digitaler Bildung haben wir immer noch nicht eine flächendeckende Lösung gefunden. Frankreich ist da wesentlich weiter. Offensichtlich lassen sich in einem zentralistischen System schneller geeignete Strukturen aufbauen und zur Verfügung stellen“, so Helmut Poppe, der damalige Leiter des eLearning-Lab im BVDW. Prof. Dr. Peter Henning, LEARNTEC, urteilt, dass die Kompetenz im Umgang mit eLearning unerlässlich für die spätere berufliche Aus- und Fortbildung und erst recht in der Hochschule ist.

E-Learning in der beruflichen Weiterbildung mit AR-Szenraien. KTM-Advance

Nun, eines ist klar, Interdisziplinarität ist in solch einem komplexen Umfeld Lernen eher Mangelware. Fachdidaktiker stehen  digitalen Szenarien skeptisch gegenüber. Die Augmented und Virtual Reality-Designer von Spiel – und Lernprogrammen machen – aus  Gründen der persönlichen Lernbiografie?  – eher einen  weiten Bogen um Pädagogen.  Die jetzige Situation zeigt, wie wenig vorbereitet Deutschland auf das Szenario Schulschließungen vorbereitet ist. Die Server ächzen und erschweren  den Zugriff auf Lerninhalte,  viele Kinder und Jugendliche wissen nicht, wie sie mit digitalisierten Angeboten umzugehen haben, dies ja aber auch kaum gibt. Es stehen häufig gerade in sozial benachteiligten Bevölkerungsgruppen keine geeignete Endgeräte, sprich Tablets, zur Verfügung. Papier ist weiterhin dominant, die Wirkungschancen digital arrangierter Lernangebote wurden nicht erkannt und erst recht nicht umgesetzt,  der Digitalpakt wird nicht realisiert obwohl die Gelder dafür bereit gestellt sind. Acht Millionen Tablets gefüllt mit Lernprogrammen und Inhalten hätten bei einem Eigenkostenanteil von 50% der Eltern weniger als 1 Milliarde € gekostet. Nur die Entscheidungen für den Einkauf verrieben sich in den Instanzen Pädagogik, Schulträger, Schulämter, Kultusministerien und anderen. Es wurde versäumt neben der Bereitstellung der Endgeräte und der Infrastruktur Lehrer auszubilden für den notwendigen Methodenwechsel, der einher gehen muss mit Trainings für Schüler im Umgang mit Selbst- und Fernlernprogrammen. Zudem müssen Eltern auf den entstehenden Paradigmenwechsel eingestimmt werden, damit sie diesen konsequent zuhause unterstützen. Man kann davon ausgehen, dass man gerade bei ihnen offene Türen einstößt.

Nähern wir uns der Sache einmal mit einigen wenigen aber wuchtigen  Zahlen:

Neue Lernangebote müssen zumindest für 3 bis 5 Kernfächer erstellt werden, digital nutzbar für mobile Endgeräte sein lokal und online.

Hiermit sollten 8 Jahrgangsstufen, nämlich nach Verlassen der Grundschule, mit jeweils 20 Modulen curriculumkonform angesprochen werden.

Diese 640 Lernmodule für Deutsch, Mathematik, Englisch  und eine Naturwissenschaft müssen programmimmanent lerngruppenspezifisch individualisiert werden. Das bedeutet, dass zusätzlich separate Lernkapitel/Module für verschiedene Schulformen erstellt werden müssen wie für berufsbildende Schulen und die gymnasiale Oberstufe. Es kommt also noch einmal eine dreistellige Anzahl von Angeboten sprich Lernprogramme hinzu.

AV-Medien in der Bildung satt, physische Distribution, obsolet?

Bestehende Angebote der Verlage und von internationalen Anbietern

Schon früh, nämlich schon zu Beginn der 2000er Jahre brachte ein Tochterunternehmen der ubisoft ein Lernprogramm auf den Markt mit dem Titel „Addy“. In der Umgebung eines Raumschiffes wurden Fächer wie Sprachen, Naturwissenschaften und Mathematik digital, interaktiv und angereichert um audiovisuelle Momente angeboten. Das französische Unternehmen hat jüngst in Kanada ein Studio eingerichtet, das die Produktion aufwendiger Lernprogramme mit Spielehintergrund erstellt.

Anders gehen deutsche Schulbuchverlage an die Materie: gerade für Sprachen greift man häufig auf die Methode der Strukturmusterübungen in einer Phase des Lernens zu. Sprachen machen immerhin ein Viertel der Unterrichtszeit in deutschen Schulen aus. Grammatische Regeln aber auch Vokabeln und selbst die Aussprache werden in Reihenfolgen systematisch geübt und verfestigt. Ähnlich funktionieren auch Mathematiklernprogramme. Naturwissenschaften vermitteln erfolgreich durch virtuelle Darstellungen Phänomene und Gesetze aus Biologie, Chemie und Physik. Bei den letzten vier Fächern lässt sich durchaus die Frage stellen, welcher volkswirtschaftliche Schaden, abgesehen von persönlichen Misserfolgstraumata,  in jeder Jahrganggstufe bei Schülern entsteht und derer späteren  Lern- und Berufskarriere durch schlecht traditionell vermittelten Lernstoff.

Geschichte, Sozialkunde, Politik, Ethik und Wirtschaft lassen sich erfolgreich lehren und vermitteln durch digital angereicherte Lernszenarien, die häufig in Phasen des entdecken lassenden Lernens schülerzentriert erfolgen. Bei musischen Fächern sind die Vorteile und Nutzungsvorgänge von digital aufbereiteten Lernprogrammen auch Laien bekannt, Zeichnen, Filmen, Gestalten lassen sich hervorragend neben Pinsel und Knete digital einsetzen. Selbst im Sport liefern Simulationen (Schatten-Overlay-Technik) und Anleitungen (zum Beispiel Fosbury-Flop) eindeutige Lernhilfen.
Weitere Inhalte stellen eGames mit Strategieentwicklungen, Trainings- und Ernährungsplänen dar.


Solche  Produktionen mit oben genannten Mengen an Lernpaketen und Modulen erfordern einen Riesenaufwand. Nicht umsonst haben Klett, Cornelsen und andere entsprechende ambitionierte Aktivitäten rasch eingestellt und produzieren brav vornehmlich  PDFs angereichert um AV-Elemente. Wie zu vernehmen war, prallten auch verschiedene Welten bei den Schulbuchverlegern aufeinander, nämlich die der ‚alten‘ Papierleute und die jungen wilden Digitalen. Hinzukam, dass die Verlage massive Einbußen durch digitale Raubkopien befürchteten. Bei einer Zielgruppenauswahl haben sie allerdings ein Feld genutzt, das der  Erwachsenbildung, wo sie bedeutende Umsätze erzielen. Stephan Bayer, Geschäftsführer des Bildungsanbieters Sofatutor geht davon aus, dass die Digitalisierung des Bildungsmarkts die Angebotsszene viel homogener machen wird. Er sieht wie in einem Interview kürzlich in der Fachzeitschrift w&v berichtet, dass „es nicht mehr nur drei Schulbuchverlage geben wird, sondern man dann eben aus 20 verschiedenen Mathe-Apps oder Anbietern auswählt.“ Seiner Meinung nach gab es in den vergangenen Jahren keinen Push von der etablierten Industrie, da diese eher in einem Monopolmarkt agiert.

Ein Blick auf eine gänzlich andere Disziplin – die Werbung

Auch hier zeigt sich die Wichtigkeit von interdisziplinärem Denken und Vorgehen. Die Werbewirtschaft – in Deutschland insgesamt ein Sektor, der etwa 70 Mrd. € im Jahr bewegt – greift zunehmend auf automatisierte Buchungen von Zielgruppen, Medien und Werbeplätzen mittels eines Verfahrens „programmatic advertising“ zurück. Diese Methode der Werbeplanung und Aussteuerung erfolgt über Angebots – und Versorgungsplattformen über denen an fein granulierte Zielgruppen Werbung ausgespielt wird. Die relativen und absoluten Kosten für die Zielgruppenansprache werden in solchen Verfahren teilweise in Auktionsverfahren ermittelt und die Zahlungen abgeschlossen. Der Autor dieser Zeilen beteiligte sich bei einem Düsseldorfer Unternehmen namens optimad schon zu Beginn der 2000er-Jahre mit entsprechenden Angeboten. Wie könnte man solche  Methoden für Lernplattformen umsetzen? Basierte das Grundprinzip des „Programmierten Lernens in den 80er und 90erJahren darauf, dass mit den damaligen schmalbrüstigen PCs einzelne Lernschritte ohne audiovisuelle oder VR/AR-Unterstützung präsentiert und erarbeitet wurden, kann „Programmatic Learning“ deutlich mehr nicht nur bei der Ausspielung sondern auch bei Individualisierung, Erfolgsmessung und der Optimierung in der Aufbereitung von Lernangeboten. Spannend hierbei ist, dass die ursprüngliche Rolle der Schulbuchverlage sich somit dramatisch ändern kann. Die Lernstoff vorhaltenden ’neutralen‘ Plattformen beherbergen für ein Fach vielleicht 10, 20 oder 30 Angebote. Vorstellbar wäre, dass dasjenige zum Zuge kommt, welches am besten für den einzelnen Lernenden geeignet ist oder aber auch das günstigste Kosten-Leistungsverhältnis aufweist. Der Weg bis dahin dürfte ein langer sein. Insgesamt sind aber die Vorteile bei der Echtzeit-Ermittlung, nämlich zu erkennen, wie gut einzelne Lernangebote funktionieren, also solche, bei denen Hänschen und Anna am schnellsten lernen und korrekt Lösungen umsetzen und anwenden. Die Maschine merkt es. Besser als der Lehrer. Wenn da Fragen nach Daten- und Personenschutz aufkommen, sind diese zu lösen. Eine ähnliche Problematik besteht derzeit auch bei der Frage nach der Handyortung von Corona-Infizierten.  Ein apodiktisches Urteil wie letztens in einer Frankfurter Tageszeitung zu lesen , „es verbietet sich eine personenbezogene Evaluierung von selbst“, ist zu kurz gedacht und erfolgte wohl auch in Unkenntnis der hier dargestellten Unterrichtsformen.

Smartboard im Unterricht. Ginge zuhause auch mit großem Bildschirm und via WLAN vom Tablet

Was ist zu tun – während und nach Corona?

  • Die Bereitschaft von Schülern ermiteln (vermutlich hoch, da von ihnen als attraktiv bewertet) und die Nutzungkompetenz ist zu fördern.
  • Dito für Eltern (dürfte auch ein Selbstläufer sein).
  • Unterrichtende müssen Pflichtkurse für solche Lehrverfahren durchlaufen. Deren Eigenproduktionen sind mit einem attraktiven Schlüssel zu bewerten und zu  honorieren.
  • Das bestehende digitale Angebot in den Schulen und für Schulen  muss inventorisiert und auf Nutzung bewertet werden. Aufgeteilt nach rein PDF oder „enriched PDF“ und interaktiven Lernprogrammen.
  • Die Kosten sind gegenüberzustellen und in der gewünschten Wirkung  der Lernangebote zu bewerten.
  • Die Distributionswege WLAN, Tablets, Schul-PCs, Smartboards sind zu ermitteln und Zielgrößen müssen definiert werden (Anzahl Endgeräte pro Schüler, Breitbandversorgung, Anzahl Smartboards).
  • Ganz vornehmlich sind Entscheidungsträger mit ihren Schnittstellen zu definieren und zu bewerten. Gemeint sind hiermit: Schulträger, Kultusministerien, Staatliche Schulämter, Verlage, andere Anbieter, Medienzentren. Ganz offensichtlich sind die Entscheidungswege für den Einsatz von Distanzlernen und E-Learning ausgesprochen lang. Zur Verfügung stehende Mittel aus dem Digitalpakt wurden nicht abgerufen oder werden nicht eingesetzt. Schon eher ketzerisch ist ide Frage, ob die Entscheidung alleinig in den Händen dieser Institutionen weiterhin liegen sollte. Her wurde, was nun in Zeiten von Corona ersichtlich wird, vieles verbummelt.
  • Ein zeitlich definierter Aktionsplan ist verbindlich auf den einzelnen Stufen verbindlich zu erstellen.
Abgerufen bedeutet nicht eingesetzt

Corona bietet für die Digitalisierung eine enorme Chance in der Bildung. Es entstehen zum jetzigen Zeitpunkt neue Initiativen und Angebote, wie die freie Nutzung von Plattformen und Radio- und TV-Angebote für zuhause lernende Kinder und Jugendliche. Die Arbeitsaufträge werden immerhin per E-Mail übermittelt, und es ist davon auszugehen, dass Lehrer auch Rückläufer und Lernerfolge digital erfassen, messen und dokumentieren. Es bleibt nur zu hoffen, dass sollte der Spuk Corona vorbei sein, nicht wieder in alte Muster verfallen wird. Mit Sicherheit wird das Virus Transformationsprozesse in der gesamten Gesellschaft  auslösen unter anderem in den Bereichen  eGovernment, Pharmazie, Industrie, Handel, Werbung und Medien. jetzt schon absehbar ist, dass die Wirtschaft stark leiden und Bildungsgelder weniger werden. Ein Grund mehr, sich das Thema E-Learning als Effizienzauslöser auch für den regulären Schulbetrieb näher anzuschauen. Es bleibt nur zu hoffen, dass die verantwortlichen Akteure in den Ministerien und Ämtern die Nachricht vernehmen und verstehen.

Eines darf man bei der Diskussion der hier aufgeführten Verfahren nicht außer Acht lassen:
Soft Skills und sogenannte „Sondertugenden“ wie  Fleiß, Pünktlichkeit, Höflichkeit und Zuverlässigkeit aber auch ganz allgemein die Sozialkompetenz gehören nicht in die schulische Mottenkiste. Gerade sie sind es, und das sollte man bei der Aufzählung der hier dargestellten Methoden nicht vergessen, diejenigen, die mit den hier genannten Methoden kaum gefördert werden. Bei der Bearbeitung und Erlangung der Lerninhalte und -ziele mit digital gestützten Methoden geht es hauptsächlich um die „Abarbeitung“ bestehender curricularer formaler Vorgaben. Abgesehen davon, dass Lehrer dringend Unterstützung und Ausbldung brauchen, darf man nicht vergessen, dass es oft die kleinen Momente sind, die lebenslange Auswirkungen haben: Das freundliche Lob und das wohlwollende Unterstützen von Leistungen der Lernenden wirken sich häufig, so nebenbei sie kommen mögen, oft fantastisch im späteren Leben aus. Solche ‚magic moments‘ kann digital schwerlich ersetzen. Es hat andere Stärken.


Der Mensch ist ein soziales Wesen – lassen wir den Schülern genügend Zeit zur eigenbestimmten Entwicklung und für das Spielen und Zusammensein mit den Gleichaltrigen. Ganz altmodisch ‚face2face‘ 🙂

Eine gewünschte Digitalisierung der Schulen liegt in den verwalterischen und hoheitlichen Händen von drei Instanzen in Deutschland: Kultusministerien, Staatlichen Schulämtern und Schulträgern. Es ist ein Leichtes über die Langwierigkeit bei der Umsetzung politischer und administrativer Entscheidungen und Prozesse zu klagen. Ihnen gebührt Respekt und Anerkennung. Im Falle des Digitalpaktes sind aber deutlich zeitliche Grenzen überschritten worden. Auf die Frage, wie es nach Corona weitergeht, es sei nun doch Zeit da, um Antworten zu finden, antwortete eine Mitarbeiterin eines Amtes „Sie mache sich erst Gedanken über den nächsten Schritt, wenn er verordnet wird.“ Zweifel dürften erlaubt sein, ob bei einigen der genannten Institutionen proaktives Handeln und professionelles Management vorhanden sind.

Let’s Play! © Evelin Poppe


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Helmut Poppe, der Verfasser dieses Artikels, ist eigentlich Mediamarketer  und
‚Digital Transformer‘ (mit Stationen in der RTL/IP-Gruppe, in deutschen Verlagshäusern und bei einem Marktforschungsinstitut). Er nutzt in diesem Zusammenhang Wirkungs- und Marktforschungsinstrumente aus der Kommunikations- und Werbewirkungsforschung. Er setzte digital gestützte Lehr- und Lernszenarien richtungsweisend ein in Schulen, insbesondere in den Fächern Sprachen, Sport, Kunst, Wirtschaft, darstellende Kunst und Ethik. In der beruflichen Ausbildung nutzt er entsprechende Hilfsmittel bei der Ausbildung von Journalisten und Medienwirkenden neben seiner Arbeit für verschiedene Medienunternehmen sowie für die Freien Demokraten.

Helmut Poppe, #dasMedienZentrm, poppe-media/koenigstein

Alle Bilder poppe-media außer Eingangsbild

poppe-media, Königstein 28.03.2020

Zur freien Verwendung bitte mit Quellenangabe.

Wake me up before you go-go (Wham!)

When will Sleeping Beauty/ German radio be awakened? It shouldn’t be slumbering there any longer! Radio systems in comparison: Germany vs. France. Who does it better? PROGRAM FORMATS, REACH, REVENUE #DasMedienZentrm poppe-media #radiormc#LaLettrePro

Watch video and check opportunities arising from competition, hard rules and program creativity

Klare Aufforderung zur angeregten Diskussion: „Was schadet mehr Gelbwesten oder Corona?“ Na, dann wird heftig debattiert.

Umsatzpotentiale im Podcast-Geschäft: Woher kommt der Euro?

(Artikel erschienen in radioszene.de am 11.02.2020) In den letzten Wochen häufen sich Erfolgsmeldungen aus dem Bereich Podcasts. Vermarkter, Hersteller und Verbände melden eine hohe Nachfrage, das Angebot steigt rasant, ein hohes Engagement der Hörer wird verzeichnet. Wir haben diese Stimmungslage zum Anlass genommen, alle mögliche Einnahmequellen für Podcasts zu beleuchten, die Rolle der Werbung zu analysieren und einige Marktteilnehmer zu befragen.

Podcast-Geschäft – noch eingefroren?

Podcast-Geschäft – noch eingefroren?

Alexander Koller

„Ja, ich kann mir vorstellen, Podcasts für unsere UKW-Radiosender einzukaufen, aber …“, sagt Alexander Koller, Geschäftsführer Funkhaus Nürnberg und nennt damit gleich eine mögliche Erlösquelle für Anbieter. Er meint aber im selben Atemzug: „…sie müssen aber auf unsere Sender einzahlen. Sie brauchen auch das Look & Feel unserer Stationen. Bei allem Wohlgefallen an Barbara Schönberger, ihr „barba radio“ nutzen wir nicht.“ Etwa 900 € kosten diese 3 bis 4-Stunden-Episoden, und da erkennt man auch gleich den Umfang möglicher Erlöse. Kommt es zu einem nationalen Einsatz in möglichst vielen Stationen, lassen sich signifikante Erlöse erzielen.

Rasch und naheliegend also ist eine Einnahmequelle identifiziert, die Radiosender. Falls diese nach Content fragen, sollten Podcaster solchen natürlich anbieten und tun dies auch bereits. Nur dürften die Erlösgrößen im UKW-Radio stark abhängig sein von der Attraktivität des Contentangebotes, der erzielten und nachgewiesenen Steigerung der Reichweiten im Programm des Senders und vom Kostenvorteil des Senders: welche Produktionskosten spart die Station ein? Umgekehrt dürften eher Radiosender als Podcastanbieter auf den Markt treten und Eigenproduktionen anbieten. Hier gelten seit langem gelernte Kostengrößen, die sich für eine Produktion je nach Dauer im drei- oder niedrigen vierstelligen Euro-Bereich belaufen dürfen.

Beispiel-Rechnnung

Weniger attraktiv stellt sich die Situation dar für ein Ausspielen auf den Webchannels klassischer UKW-Stationen. Die Sender werden den entstehenden Traffic nicht ableiten lassen und Werbeeinnahmen zumindest anteilig behalten wollen. Hier bleibt es also mit einem Szenario Syndication 2 in Webchannels eher nur bei möglichen Einnahmen aus dem Verkauf der Produktionen. Deutschlandweit mag da 2021 ein Betrag unter 1 Mio. € herauskommen.

Orientierungsgrößen US-Markt?

Schaut man auf das Mekka des Radios und der Podcast-Welt, und schenkt man den Zahlen Glauben, sind viele auf einen ersten Blick starke US-Vorlagen für das eigene Geschäft zu finden: 107 Mrd. USD wurden im vergangenen Jahr in den USA in die Onlinewerbung gesteckt, da lassen sich rasch Milliardenwerte für Werbung in Podcasts hochrechnen. Dies ist – wenn auch nicht ganz – der Fall: 2018 wurden laut IAB immerhin 479 Mio. USD in Podcasts umgesetzt. Ins Stirnrunzeln kommt man allerdings doch bei der Überlegung, ob da nicht insgesamt etwas schief liegt, hinzukommen schließlich noch die Außenwerbung, Radio- und TV, Print und Ambient-Werbung in den USA. Bei etwa 34 Mrd € Investitionen (Nielsen) in hiesige Mediawerbung sind die US-Spendings nicht um ein Vierfaches (gewichtet an Bevölkerungszahl) höher (136 Mrd.) sondern sie liegen bei 240 Mrd. USD also um mehr als das Siebenfache. Diese Diskrepanz ist erklärungsbedürftig. Gibt es hier eine Klondike-Glorifizierung getrieben von den Digitalen?

Im vergangenen Jahr beliefen sich die im hiesigen Netz erzielten Werbeumsätze in Audio-Channels auf bescheidene 60 Mio. € netto (Quelle VAUNET, Instream Audiowerbung). Der eingangs genannte Nürnberger Betreiber nennt originär digitale Umsatzanteile von … unter 1 Prozent! In der Zahl 60 Mio. ist nicht die Gesamtheit aller Erlöse und Erlösfelder für Podcasts enthalten, sie dient eher zu einer Relativierung und als Maßstab bei einer Bewertung möglicher zukünftiger Umsatzgrößen dieser neuen Spielform im Bereich Audio.

Zurück zu den USA, das Finanz-Beratungsunternehmen Guggenheim Partners schätzt die möglichen Werbeerlöse aus Podcasts in den USA im Jahr 2021 auf 1 Mrd. ein, hieraus werden gemäß des Unternehmens etwa ein Viertel auf Spotify fallen. Der Streaminganbieter setzt offensichtlich vehement auf dieses Audiosegment durch den Zukauf von Anbietern wie den Produzenten Gimlet Media und das Podcast-Tool Anchor, weitere Zukäufe sind wie zu vernehmen, geplant. Spotifys Strategie lautet offensichtlich, als Landing Page für diesen neuen Sektor zu fungieren. Einnahmegrößen für den deutschen Markt aus den US-Angaben herunter zu brechen und zu ermitteln, dürfte müßig sein: Die Märkte sind zu unterschiedlich, es stellt sich auch die Frage der Validität der Zahlen. Insgesamt erschienen sie aber nach tieferer Analyse doch nicht gänzlich überzogen. Eine Einnahmerechnung nach Abo-Einnahmen aus 10 Mio. Haushalten und gegriffenen 120 USD p.a. Subskriptionskosten plus geschätzte 5% der Onlinewerbespendings ergeben eine mögliche Einnahmegröße von 1,2 Mrd aus Abos plus 5 Mrd. USD aus Werbung für den US-Markt, insgesamt also erstaunliche 6,2 Mrd. USD.

Für Deutschland stellt sich die Frage: Sind die hiesigen Haushalte bereit, zu den jährlichen Aufwendungen für Medien in Höhe von mehr als durchschnittlich 1.000 € neben Rundfunkgebühr, Presse, ein oder zwei Streamingangebote, Handygebühren (ja, da vorwiegend Mediennutzung) und zu den Kosten für ein sicherlich wertiges Premium-Spotify-Abo noch ein weiteres hinzu zu kaufen für sagen wir mal 5 € im Monat?

Nicht verlockend scheint ein Setzen auf die ‚Community‘ zu sein. Wiki und andere gemeinnützige Webanbieter machen die leidvolle Erfahrung: Die Taschen bleiben zu allermeist verschlossen. Ein starker Community-Spirit wird wohl kaum die Euros in die Taschen der Produzenten wehen.

Vincent Kittmann (Head of Podstars by OMR, Hamburg) dazu: “Die Revenues für den deutschen Markt sind aktuell nur schwer einzuschätzen. Wenn man Branded Podcast als Marketingmaßnahme mitzählt plus die Bezahlung die Podcaster von den Plattformen bekommen (z.B. Jan Böhmermann und Olli Schulz von Spotify) sind wir auf jeden Fall bei einem zweistelligen Millionenbetrag.“

Unternehmens-Podcasts sind als internes Unternehmenskommunikationsmittel eher den ganz großen Playern vorbehalten, deren Anzahl sich vielleicht auf 50 beläuft. Interessant sind diese, da sie auch als Werbekunden und Sponsoren in anderen Fällen auftreten können und da sie über attraktive Budgets verfügen. Nicht zuletzt werden sie auch, sofern sie das neue Angebot nutzen, auch regelmäßig auf „Sendung“ gehen wollen und treu dabei sein.

Native Ads mit Podcasts, des Autors Liebling, sind bekanntlich interessant gemachte Audiobeiträge, die irgendwo etwas mit dem Unternehmensthema zu tun haben. Dies ist eine andere Interpretation wie jene, mit einer in der jetzigen Diskussion häufig genannten ‚Hosting‘-Rolle. Dabei soll der Moderator des Podcasts als Werbepresenter auftreten (und als “Audio-Influencer”alles vermasseln, wie einige kritisieren). Bei dem Versicherer AXA können das Ernährungstipps oder social responsibility-Theme sein, bei einem Matratzenanbieter, der Schlaf, bei Audi die Elektromobilität und bei einem Reiseveranstalter die Magie eines bestimmten Landes sein. Auch hier sind bestimmt interessante Margen zu erzielen. Zu bedenken aber ist, dass die Anzahl der möglicher nationaler Marken und Kunden bei einer doch überschaubaren dreistelligen Anzahl liegt, wirtschaftlicher Erfolg wird hierbei durch die Gewinnung von möglichst vielen aus diesem Stamm oder neuer bisher unentdeckt gebliebener zu erzielen sein.

Podcasts as ad, am Pricing von Funkspots orientieren zu wollen ist nachvollziehbar, kann aber nicht nach dem Schema verlaufen, Kosten traditioneller 30-Sekünder anzusetzen, nach der Formel: x 10 für eine 5-Minutenproduktion. Hatten in der frühen Privatradio-Ära die 30-Sekünder das Manko des “kurzen Röchlers” sind diese in der Tat durchschnittlich eher noch kürzer geworden. Lange Versionen dürften aber für eine Programmverträglichkeit eher im 90-Sekundenbereich verlaufen müssen und einen redaktionellen Charakter haben. Das Pricing ist also eher auf ein Drittel anzusetzen sein (wobei wir bei dem Richtwert des 30-Sekünders wären). Solche Langspotversionen sind weniger werblich angelegt, unterhaltend und intrusiv, trotzdem hat sich die Kundschaft daran gewöhnt, hierfür nur mit einen Abschlag zu zahlen.

Der größte Streaminganbieter Spotify bietet Podcastern nicht unerhebliche Leistungen wie Hosting, Metrics und Werbung für die Plattform. Diese sind also auf Werbeeinnahmen angewiesen.

Laurent Dumont, Gründer von Podcastics sieht die Sache so: „Meiner Einschätzung nach nutzen 99% der Anbieter keine Möglichkeiten der Refinanzierung. Ich traue dem Format “host read” ein hohes Umsatzpotental zu mit einem CPT von 80 € und mehr. Bei der Werbeakquisition durch große Mittler, was einen kleinen Markt darstellt meiner Einschätzung nach, sehe ich eher Tausenderpreise von 5 bis 30 €.“

Gerard Edwards, ‚Podjock‘ bei dem Diensteanbieter Podcast Radio plädiert für eine Demokratisierung der Angebote und meint: „I believe a new platform format will come along and have a subscription base, allowing access to the majority of podcast content, but genuinely splitting income with all creators (this is without an advert inserted).  This will benefit podcasters who can’t demand big advertising brands themselves.”

Im Rahmen der Recherche fiel auf, dass traditionelle Mediaagenturen sich durchaus mit der Findung von Strategien für den Einsatz der neuen Audio-Spielform beschäftigen. Hier wird es spannend zu sehen, wie die Vertriebsarbeit der Podcaster und deren Dienstleister wirken. Denn sind erst einmal die Kunden ‚angeturnt‘ und überzeugt, werden die Mediaplaner folgen (müssen).

Da fällt noch das Stichwort ‚Intermediäre‘, neben dem Allzweck-Dienstleister PODCASTICS der Statistiken, unbegrenztes Hosting, einfaches Teilen und Monetarisierung verspricht, tummeln sich weitere mit gleichen Services. Sie nennen sich zum Beispiel targetspot, Zippycast oder Studio Podcast. Und da wären wir bei einem ganz wesentlichen Auslösekriterium für Podcasts nämlich die Reichweiten. Diese gilt es eindeutig und valide nachzuweisen, und da stehen noch immer gemeinsame akzeptierte Messinstrumente aus. Laut diverser Studien liegen die wöchentlichen Einschaltquoten von Audio-Podcasts bereits im zweistelligen Bereich (z.Bsp. ARD/ZDF-Onlinestudie 2018, BLM 2019, Bitkom) bei einem Bevölkerungsanteil von über einem Viertel.

Insgesamt lassen sich mit den hier aufgestellten Modellen doch recht überschaubare Erlöse in Höhe von 30 bis 40 Mio. € aus dem Podcast-Markt für das Jahr 2021 hochrechnen. Es sind Marktkonzentrationen zu erwarten angesichts der Dominanz der Streaminganbieter und Abodienstleister. Von der Contentprovider-Seite ist zu erwarten, dass viele ihre spontane Lust am Medium verlieren und es ebenfalls zu einer Konsolidierung in den nächsten 5 Jahren kommt, wobei die Tiefe des Angebotes ebenfalls zurückgehen wird. Erkennbar ist eine Analogie zu der Privatfunkszene in einigen Ländern, wo anfangs Tausende von Anbietern auf den Markt kamen, dann verschwanden oder sich in “unabhängigen Radionetzwerken” sammelten. Ob und wie den Podcastern es gelingt, in die Mediennutzungsgewohnheit Vieler zu gelangen und Radio-ähnlichen Live-Charakter zu entwickeln, ist die spannende Frage der Zukunft. Alleinig als „Lean Back-Medium“ zu fungieren, wird Podcast in den Bereich des Nischen-Mediums verweisen. Schauen wir mal, welche Blüten Audio-Kreativität da aufspringen lässt.

(Text und Tabellen: ©Helmut Poppe, 07.02.2020)


Helmut Poppe

Helmut Poppe, Radiopionier mit den Stationen: Radio Petticoat-Berlin (erster deutscher Oldiesender), Geschäftsführer der Radio Tele Media-Service, Marketingleiter Vertrieb Studio Gong, Verkaufsdirektor der IPA und IP Multimedia, Marketingleitung germany.net mit radio germany.net. Er arbeitet in und an digitaler Transformation für verschiedene Unternehmen in Deutschland und im Ausland in den Branchen Sport, politische Kommunikation und Medien.

Wo Werbung, Print, Politik in Radio/Audio zusammen kommen

Neuerdings nennt sich Radio  nicht mehr … Radio sondern Audio. Senior-Experten ist noch der Begriff „Funk“ in Erinnerung. Geschicktes „Framing“ der neu Hinzugekommenen? Mit zahlreichen Innovationen – wie soll es auch anders sein  aus dem Digitalen – erhält das weiterhin enorm erfolgreiche Medium einen Push und wandelt sich. Gab es vor zehn Jahren in Deutschland 350 Sender sind es nun 438, die durchschnittliche Radioverweildauer aller Deutschen beträgt beachtliche 4 Stunden 9 Minuten an einem Werktag.  55 Millionen Deutsche hören Audiomedien. Radiosendern wird die höchste Glaubwürdigkeit als Nachrichtenquelle geschenkt (Zahlen MA 2019 I, GIK). Podcasts sollen laut einer PwC-Studie das beste Werbewachstum erfahren mit einer internationalen Steigerung von knapp 30% bis 2023, wohingegen die gesamte Medien- und Unterhaltungsbranche in diesem Zeitraum nur um etwas mehr als 4 % zulegen wird.

Ein Element der Transformation in der neuen Audio-Medienwelt stellen Podcasts dar. Solche Produktionen können unterhaltende oder informierende Beiträge sein, die in Serienform hergestellt werden und zeitversetzt ’non-linear‘ abrufbar und auch herunterladbar sind. Hörspiele oder  bereits on air gewesene Beiträge sogenannte ‚replays‘ gehören auch zu dieser Kategorie. Zur Wiedergabe fungiert meistens das ubiquitäre Smartphone. Über tatsächliche Nutzerzahlen liegen unterschiedliche Zahlen vor, ob sie nun aus Eigeninteresse ‚hochgejazzt‘ sind oder nicht, sie zeigen auf jeden Fall einen durchschlagenden Trend: dieser geht  Richtung Personalisierung der Hörangebote wie es viele Sender und Digitalanbieter mit zahlreichen Channels vor exerzieren.

Schaut man in einem der vielen Radio-Aggregatoren nach, welche die einzelnen Angebote thematisch sammeln, findet man in der gut gemachten App Audials (Hallo Karlruhe 🙂 ) 242.000 Beiträge in englischer Sprache und etwa  22.000 auf Deutsch von  insgesamt 365.000  imventarisierten Beiträgen (Französisch 8552, Niederländisch 2013, Schwedisch 4872. Interessant wäre hierbei eine vergleichende Gewichtung nach Anzahl der Radio-/Audio-Hörer oder der Population insgesamt).

Rund um das weite Thema Gesundheit sind bei uns in Deutschland überdurchschnittlich viele Podcasts abzurufen. Natürlich gibt es in dem neuen Medienumfeld  auch gleich Audiobeiträge mit Empfehlungen, wie solche Podcast produziert werden: der Anbieter Kondensator z. Bsp. verteilt Tipps zur Besorgung von Sounds, die er auf der empfehlenswerten US-amerikanischen Plattform NPR gefunden hat. Urheberrechtsfragen kann und sollte man nachlesen, sich aber nicht die Freude am kreativen Schaffen verderben lassen.

Eine ganz andere Dimension stellen Mitschnitte von politischen Diskussionen dar, wie hier z. Bsp. ein auf audials gefundener Podcast von Ausschusssitzungen zu den Themen Grundsteuer oder Städtebauförderung. Kompliment an die Kuratoren der App, ja, auch  politische Diskussionen sind wichtig.

Solche innovativen Features tragen wirkungsvoll zur politischen Meinungsbildung bei. Mitschnitte von Ausschusssitzungen und Debatten im deutschen Bundestag sind auch als Videos in einer Mediathek abrufbar und ebenfalls in einer verschriftlichten Form. Im Speechtotext-Verfahren ergibt sich  ein attraktives Feld für Anbieter, die alle möglichen Audioproduktionen, das gesprochene Wort mithin, auch Radiosendungen, verschriftlichen und mit Schlüsselwörtern, Indices und Tags tiefe Analysen ermöglichen. Eine Inhaltsanalyse des Wortes ist ja bisher nur möglich über analoges und zeitintensives Mithören. Viel Vorstellungskraft wird da nicht viel abverlangt bei der Frage, was mit solchen Technologien alles abrufbar und identifizierbar ist. Inhalte und die zeitliche Messung von Werbung sind nur ein ganz kleiner Teil davon.

Mit „Text2Bot“ bringt ein umgekehrtes Szenario Printerzeugnisse in die Welt des Hörens: Das Hamburger Startup Bottalk verwandelt Nachrichtenseiten in Podcasts und  macht Verlagshäuser zu Podcastern. Da lautet die Aufforderung von Helmut Poppe, Radioexperte: „Reinhören und testen, ob Satzmelodie, Intonation und dergleichen stimmig sind. Anwendungen wie narrator’s voice überzeugen bisher nicht vollkommen. Spannend werden solche Anwendungen für einen Content-Auffütterung in zielgruppenspezifischen Channels der Radio/Audio-Anbieter. Für Printverleger liegen die Vorteile auf der Hand, sie gewinnen neue Kanäle und Chancen für die Erschließung zusätzlicher Erlösquellen„.  Nach Angabe der Gründer werden große Potenziale  im Bereich digitaler Gesundheitsanwendungen gesehen. Und da schließt sich der Kreis zu der eingangs festgestellten thematischen Favorisierung.

Hier ein Beispiel der Podcasts aus dem Bundestag. Es führte durch die Sendung – pardon – Anhörung MdB Bettina Stark-Watzinger souverän mit einer klaren, freundlichen Stimme. Das PA-System in unserer Volksvertretung scheint auch exzellent zu sein.

Bald findet in Paris eine für Radiomacher und für Vertreter von Unternehmen rund um die Branche konzipierte wohl größte Radio-Audiomesse in Europa statt. Für Fachbesucher ist der Eintritt frei!

#EuropeRadioShow

@DasMedienZentrm

#radioszene

 

MdB Bettina Stark-Watzinger, screenshot Mediathek Deutscher Bundestag

Andere Bilder: screenshots audials.

Die Kraft des WORTES – DABplus und Podcasts

Hört man sich französische Talk-Sender an, stellt sich immer wieder die Frage, warum dieses Format nicht bei uns in Deutschland funktioniert. OK, es gibt DLF* und DW*. Die können es ja aber nicht sein (Klinkern der Eiswürfel im Whiskyglas ist zu hören und das Schlurfen der Pantoffeln, grins).

Das ist Feinarbeit. Screenshot France 2

Mit DABplus und Streaming wäre es doch eigentlich gut möglich, ein massenattraktives Radioprogramm zu erstellen und verbreiten. Dass die kumuliertenViertelstundenreichweiten geringe Hördauer erzeugen, zieht nicht so ganz: man  möge sich einmal Radio RMC anhören. Eine Programmanalyse zeigt rasch, wie die cleveren Macher dort ansetzen: 28 Elemente in 15 Minuten (call ins, Moderatorenbeiträge Jingles, Werbung, Nachrichtenteaser, Nachrichten ….), das Ganze eingebettet in Doppel- und Dreifachmoderationen uuuund  mit einem sehr persönlichen nachbarschaft-freundschaftlichen Draht zu den Hörern. Diese können durchaus über 80 sein. Funktioniert solch ein Format auch rechtsrheinisch bei uns, oder plaudern die Nachbarn auf der anderen Seite des Rheins und andere Latinos eher nur gerne? Könnte schon sein.

Vive la France jedenfalls – nicht nur wegen der rüstigen Senioren. Interessant auch, dass die 4 großen Anbieter durch die Bank Bewegtbild parallel anbieten.

 

Mathieu Gallet mit seiner Plattform Majelan: 75% aller Hörer wären bereit zu zahlen. screenshot France 2

Ein ganz wichtiges Element des Erfolges ist mit Sicherheit die STIMME der Moderatoren. Ergänzt mit der Präsenz und Echtzeit ist THE VOICE der Schlüsselfaktor erfolgreichen Radios – nicht Podcasts oder DABplus. Dem Hörer ist es gleich, über welchen Kanal er empfängt. Im Zweifel weiß er gar nicht, über welchen er gerade hört. Podcasts werden eine gewisse Chance haben mit modularem Einsatz in bestehenden Live-Programmen.

Kommentar Helmut Poppe, Privat-Radioexperte der ersten Stunde:
„Stimme und Live Experience sind die tragenden Elemente erfolgreichen Radios – meinetwegen ‚Audios‘ 🙂 – die Podcast-Anbieter können die Chance nutzen ‚live‘ gestreamte Angebote oder modulare Angebote für UKW-Radiosender  zu erstellen. Ob eine non lineare-Nutzung eine weite Verbreitung findet, wird sich zeigen. Gut ist auf jeden Fall, dass neue Elemente in dem Kultur- und Massenmedium Radio Einzug finden und für wichtige Innovation und Transformation sorgen.“

Beitragsild: Prince Abid – unsplash

*DeutschlandFunk, Deutsche Welle

 

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